69 research outputs found

    How Sustainability Ratings Might Deter “Greenwashing”: A Closer Look at Ethical Corporate Communication.

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    Of the many ethical corporate marketing practices, many firms use corporate social responsibility (CSR) communication to enhance their corporate image. Yet consumers, overwhelmed by these more or less well-founded CSR claims, often have trouble identifying truly responsible firms. This confusion encourages “greenwashing” and may make CSR initiatives less effective. On the basis of attribution theory, this study investigates the role of independent sustainability ratings on consumers’ responses to companies’ CSR communication. Experimental results indicate the negative effect of a poor sustainability rating for corporate brand evaluations in the case of CSR communication, because consumers infer less intrinsic motives by the brand. Sustainability ratings thus could act to deter “greenwashing” and encourage virtuous firms to persevere in their CSR practices.attribution theory; ethical corporate marketing; sustainability ratings; CSR communication;

    How Sustainability Ratings Might Deter "Greenwashing": A Closer Look at Ethical Corporate Communication

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    Of the many ethical corporate marketing practices, many firms use corporate social responsibility (CSR) communication to enhance their corporate image. Yet consumers, overwhelmed by these more or less well-founded CSR claims often have trouble identifying truly responsible firms. This confusion encourages "greenwashing" and may make CSR initiatives less effective. On the basis of attribution theory, this study investigates the role of independent sustainability ratings on consumers' responses to companies' CSR communication. Experimental results indicate the negative effect of a poor sustainability rating for corporate brand evaluations in the case of CSR communication, because consumers infer less intrinsic motives by the brand. Sustainability ratings thus could act to deter "greenwashing" and encourage virtuous firms to persevere in their CSR practices.ethical corporate marketing, CSR communication, attribution theory, sustainability ratings

    Comment prévenir le "greenwashing" ? L'influence des éléments d'exécution publicitaire

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    Cette recherche examine l'influence de trois éléments d'exécution publicitaire (l'usage de la couleur verte, du mot " durable " et la présence d'un label écologique auto-décerné) sur les perceptions des consommateurs en matiÚre de sincérité perçue de la publicité, d'image écologique et d'attitude envers le produit et l'annonceur. Une expérimentation menée sur 640 consommateurs représentatifs de la population française montre que les répondants se laissent peu tromper par les pratiques de greenwashing. Chez les consommateurs experts, aucune des 3 pratiques n'exerce d'influence positive. Chez les nonexperts, seul le label présente un fort effet positif.publicité à caractÚre écologique, greenwashing, perceptions du consommateur

    L'oiseau rend-il la marque plus écolo ? Une analyse des éléments d'exécution substantifs et associatifs en cas de greenwashing publicitaire

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    Cette recherche examine l'influence des éléments d'exécution substantifs (en l'occurrence sémantique) et associatifs (visuel et sonore) sur l'image écologique d'une marque en cas de greenwashing. Les résultats d'une expérimentation montrent un effet positif de l'usage de la sémantique écologique. Ils montrent un double effet des éléments associatifs (visuel et so-nore) : un effet émotionnel positif sur l'image écologique via l'amélioration de la qualité d'exécution de la publicité et un effet informationnel négatif. Par ailleurs, aucun effet de réso-nance entre les élements d'exécution n'est montré.greenwashing publicitaire ; stimuli verbal et visuel ; ambiance sonore ; image écologique ; expertise

    Mieux vaut bien faire et le faire dire : Le rÎle des notations environnementales dans la régulation du greenwashing

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    L'une des grandes tendances en matiĂšre de communication publicitaire actuellement rĂ©side dans la mise en avant d'arguments Ă©cologiques, Ă  savoir " toute revendication, indication ou prĂ©sentation, sous quelque forme que ce soit, utilisĂ©e Ă  titre principal ou accessoire dans une publicitĂ©, Ă©tablissant un lien entre les marques, produits, services ou actions d'un annonceur, et le respect de l'environnement " (ARPP ). Il existe trois niveaux dans l'utilisation d'arguments Ă©cologiques en publicitĂ© (Van de Ven, 2008). A un premier niveau, trĂšs gĂ©nĂ©ral, les entreprises communiquent qu'elles opĂšrent dans le respect de l'environnement pour asseoir leur lĂ©gitimitĂ© au sein de l'espace social. A un second niveau, elles dĂ©passent le respect de l'environnement pour afficher une dĂ©marche proactive qui vise l'excellence en matiĂšre de responsabilitĂ© environnementale. Enfin, Ă  un troisiĂšme niveau, les entreprises mobilisent des arguments Ă©cologiques comme principal levier de diffĂ©renciation pour le positionnement de leurs produits ou de leurs services (e.g., The Body Shop, Natura Brasil). ConcrĂštement, en 2009, 6% des visuels publicitaires diffusĂ©s sont liĂ©s Ă  l'environnement, soit une proportion multipliĂ©e par 5,5 depuis 2006 (Bilan PublicitĂ© & Environnement, ARPP-ADEME, 2009). Le corollaire de cette tendance s'observe toutefois dans le dĂ©veloppement concomitant de la pratique du greenwashing, qui concernerait en 2009 10% des visuels diffusĂ©s selon l'Ă©tude ARPP-ADEME prĂ©-citĂ©e. GĂ©nĂ©ralement traduit par " Ă©co-blanchiment " ou " blanchiment Ă©cologique d'image ", le terme greenwashing dĂ©signe l'ensemble des annonces utilisant abusivement, c'est-Ă -dire de maniĂšre infondĂ©e, biaisĂ©e ou excessive, un argument Ă©cologique (Bilan PublicitĂ© & Environnement, ARPP-ADEME, 2009). Si la pratique du greenwashing pose aujourd'hui question Ă  la sociĂ©tĂ© civile (e.g., associations environnementales ou de protection des consommateurs), c'est qu'elle n'est pas sans consĂ©quence. Ainsi, comme toute opĂ©ration de communication environnementale, elles visent Ă  modifier favorablement les attitudes et les comportements des consommateurs (Van de Ven, 2008 ; Vanhamme et Grobben, 2009) et y parvient dans une certaine mesure en amĂ©liorant l'image des entreprises et des marques auprĂšs des consommateurs et en attirant leur bienveillance pour, in fine, augmenter les ventes. En effet, faute d'une information pertinente sur les pratiques rĂ©elles des entreprises , les consommateurs sensibles Ă  l'Ă©cologie ne peuvent pas distinguer la bonne rĂ©putation d'une entreprise du simple discours de rhĂ©torique (Fukukawa et alii, 2007 ; Bernstein, 2009). Ils sont ainsi conduits Ă  favoriser, Ă  leur insu, les entreprises ou les marques qui se dĂ©clarent responsables bien qu'elles ne le soient pas, au dĂ©triment de celles qui sont effectivement responsables, mais qui ne le revendiquent pas. Finalement, les consommateurs responsables ne peuvent tout simplement pas exercer leur droit Ă  une consommation respectueuse de l'environnement. DĂšs lors, un dilemme apparaĂźt pour les entreprises qui font de rĂ©els efforts pour intĂ©grer les principes du dĂ©veloppement durable dans leur activitĂ©. En effet, si leurs concurrents usent opportunĂ©ment d'arguments Ă©cologiques sans entreprendre les mĂȘmes efforts, ces entreprises perdent l'avantage perceptuel et commercial relatif dont elles bĂ©nĂ©ficient du fait de leurs efforts et risquent de se trouver dĂ©couragĂ©es dans la poursuite de ces efforts. Il s'agit d'un cas classique d'asymĂ©trie d'information oĂč la mauvaise pratique chasse la bonne (Akerlof, 1970). Face Ă  ce dilemme, comment la sociĂ©tĂ© peut-elle penser la rĂ©gulation des pratiques de communication environnementale et encourager les entreprises vertueuses Ă  poursuivre leurs initiatives ? Parmi les solutions possibles, ce travail interroge la diffusion de notations environnementales Ă  destination des consommateurs et leur capacitĂ© Ă  dissuader les pratiques de greenwashing. Il envisage les notations environnementales, Ă©mises par des tierces parties, comme des signaux de marchĂ© susceptibles de diminuer les asymĂ©tries d'information (Spence, 1973). Afin de tester ce mode de rĂ©gulation, une expĂ©rimentation menĂ©e auprĂšs de consommateurs conjugue la connaissance prĂ©alable de la notation environnementale d'une marque fictive Ă  l'exposition Ă  la communication environnementale de cette mĂȘme marque. La discussion de ses rĂ©sultats encourage la mise Ă  disposition, auprĂšs des consommateurs, d'une information synthĂ©tique, claire et accessible sur les efforts conduits par les entreprises en matiĂšre de dĂ©veloppement durable. Si elle ne devrait pas suffire Ă  dĂ©courager les pratiques de greenwashing, la mise Ă  disposition de cette information devrait toutefois permettre de prĂ©venir une partie de ses consĂ©quences nĂ©gatives.communication sociĂ©tale, greenwashing

    Comment prévenir le greenwashing ? L'influence des éléments d'exécution publicitaire

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    Cette recherche examine l'influence de trois éléments d'exécution publicitaire (l'usage de la couleur verte, du mot " durable " et la présence d'un label écologique auto-décerné) sur les perceptions des consommateurs en matiÚre de sincérité perçue de la publicité, d'image écologique et d'attitude envers le produit et l'annonceur. Une expérimentation menée sur 640 consommateurs représentatifs de la population française montre que les répondants se laissent peu tromper par les pratiques de greenwashing. Chez les consommateurs experts, aucune des trois pratiques n'exerce d'influence positive. Chez les non-experts, seul le label présente un fort effet positif." greenwashing ", publicité, écologie, expérimentation

    Le greenwashing publicitaire est-il efficace ? Une analyse de l'élaboration négative des éléments d'exécution

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    Cette recherche examine l'influence du greenwashing publicitaire sur l'image Ă©cologiquedu produit et de l'annonceur. Une expĂ©rimentation fondĂ©e sur le modĂšle ELM et menĂ©esur 640 rĂ©pondants manipule trois Ă©lĂ©ments d'exĂ©cution publicitaire : la couleur verte, leterme " durablement " et l'auto-labellisation. Les rĂ©sultats montrent que les consommateursne se laissent globalement pas tromper par les pratiques de greenwashing publicitaire. Chezles consommateurs non-experts, seul le label Ă©cologique auto-dĂ©cernĂ© prĂ©sente un fort effetpositif. A l'inverse, chez les consommateurs experts, seul un effet contre-productif a pu ĂȘtreobservĂ© dans le cas de l'utilisation de la couleur verte.greenwashing publicitaire ; manipulation ; ELM ; Ă©lĂ©ments d'exĂ©cution ; label

    La communication sociétale : entre opportunités et risques d'opportunisme

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    Des voitures réduisant leurs émissions de CO2 aux aliments issus de l'agriculture biologique en passant par une offre de crédits plus responsable, il semble que les arguments sociétaux investissent l'ensemble des messages commerciaux. De telles pratiques de communication sont-elles devenues à ce point indispensables ? Sont-elles toujours bénéfiques ? L'objectif de cet article est de dresser un bilan des stratégies de communication sociétale, d'envisager leurs atouts et d'explorer les risques associés à leur dérive. Cet article rappelle également le débat régulatoire que la généralisation des pratiques de communication sociétale a ouvert au sein du monde de la communication et plus largement de la société civile.communication sociétale; greenwasing

    Segmentation des signes de qualité : labels expérientiels et labels techniques

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    International audienc

    Segmentation des signes de qualité : labels expérientiels et labels techniques

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    La multiplication des signes de qualité oblige à repenser la définition des labels et à structurer de maniÚre pertinente cet ensemble de signaux souvent opaque. Les apports de l'économie de l'information permettent de différencier, d'une part, les labels exponentiels et, d'autre part, les labels techniques. Dans cet article, nous illustrons chaque type de label et proposons un tableau de bord de leurs principales caractéristiques.ou
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